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hier à 16h39, Mis à jour hier à 21h14.
DESCRIPTION ÉNORME – Pour que les trains deviennent une alternative plus fréquente aux voitures, il reste beaucoup à faire, et cela nécessite d’énormes ressources.
Étés chauds et automnes doux ont convaincu les derniers sceptiques : le réchauffement climatique est une réalité contre laquelle il faut lutter. Les transports, premier poste émetteur de gaz à effet de serre (31 % de nos émissions de carbone), sont en vue.
Un peu moins de déplacements en avion ou seul en voiture et un peu plus de déplacements en train sont des conditions préalables à toute chance de tenir l’engagement pris par la France lors de l’accord de Paris de 2015 : limiter la hausse des températures à 1,5°C par rapport au début de l’ère industrielle .
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Car les transports en commun sont de loin les plus écologiques : un voyageur en TGV émet 65 fois moins de gaz à effet de serre au kilomètre qu’en avion et 26 fois moins qu’en voiture thermique. Du coup, le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, s’est fixé un objectif consensuel : « Ma vision est de transporter deux fois plus de voyageurs et de marchandises en dix ans », expliquait-il à
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