Contrôle technique du conducteur, transports en commun : notre mobilité en question !

En 2018, un homme de 92 ans perd le contrôle de sa voiture et percute Pauline Déroulède, championne de tennis. Il a perdu sa jambe à cause de cet accident. Depuis, il se bat pour imposer au chauffeur la qualité du contrôle technique : « Ce que j’empêche, c’est un examen médical de tous les chauffeurs mais avec une augmentation normale après un certain âge. Par exemple 50 ans, c’est pour ça que tout le monde devrait y aller ». chez le médecin régulièrement ». Une sorte d’évaluation sur l’ensemble des émotions captées par la conduite avec, si nécessaire, le contrôle de la conduite elle-même.

Cette action, Pauline la tire donc de sa propre expérience sur laquelle elle revient : « Le rapport d’expertise disait qu’il avait dérangé les pédales d’accélérateur et de frein. était désespéré et s’était fait ça mais il savait très bien qu’il n’était plus capable de conduire et s’il y avait une loi il l’aurait respectée. » Alors il décide de lancer une grande campagne de sensibilisation :

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Et cette campagne, l’a rendue indépendante de la Sécurité Routière qui n’a pas voulu la suivre. Il explique pourquoi dans notre podcast. Cependant, Pauline Déroulède veut mettre en place un projet de loi sur lequel elle travaille avec de nombreux membres du gouvernement.

Mais sans voiture, vous avez toujours besoin d’un moyen efficace pour vous déplacer ! Le problème, selon l’étude d’Odoxa, ce sont les transports en commun et le français : ce n’est plus le vrai amour ! Erwan Lestrohan, directeur conseil à l’institut Odoxa, nous explique que : « En fait, les Français utilisent les transports en commun, mais il y a 22% des répondants qui indiquent qu’ils le feront si les transports le permettent ». Une leçon à l’heure où les Français sont incités à moins utiliser leur voiture.

Et si le TGV est l’un des préférés des citoyens malgré son prix, le métro, les tramways ou le RER sont critiqués pour leur manque de sécurité : « 68 % de leurs usagers réguliers disent que l’économie à bord n’est pas satisfaisante. En effet, dans les grands Dans les grandes villes, les transports en commun sont privilégiés pour gagner du temps de trajet, mais la connaissance et la sécurité. Surtout dans les grandes villes. En milieu rural, c’est clairement plus difficile : « Les ruraux sont aux ¾ pour nous dire que les transports en commun ne sont pas satisfaisants alors ils retournent à leur voiture ».

Une dernière réflexion : le nourrissage des Français et le tabassage. Bien que bon nombre des raisons d’une grève soient comprises, les conséquences sont les plus pénibles. Notre invité revient sur le sujet.