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| mis à jour hier 06h51 & # xD;
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Aux Restos du Coeur, Caroline, Audrey et Sihle sont montées à bord de l’hippobus sans hésiter. Ils sont chargés comme des mulets, et étaient très confortables pour être portés par deux chevaux… Photo Le DL/Caroline BERN
La voiture emprunta le pont en bois de Crest. Ici avec vue sur la tour Crest. Photo par DL/Caroline BERN
Sihle, heureuse d’être déposée à quelques pas de chez elle, est repartie avec un grand sourire en compagnie de Nicolas, l’entraîneur. Photo par DL/Caroline BERN
La voiture passe partout. A l’intersection, Myriam, celle qui tenait les rênes, n’a pas hésité à passer. Photo par DL/Caroline BERN
Caroline désigne la tour Crest, qu’elle pourra admirer longuement. Photo par DL/Caroline BERN
Même avec le trafic dense, les chevaux, Topaz et Pedro, sont calmes. Photo par DL/Caroline BERN
Myriam Lopez-Parodi a déclaré : « Mon grand-père était journaliste et avait des chevaux ici, Crest », raconte Myriam Lopez-Parodi, qui vient d’accéder au poste de coach le 13 octobre, ici, sur les bords de la Drôme. Photo par DL/Caroline BERN
Partis d’Aouste-sur-Sye, tout contents, les écoles élémentaires de Jules-Ferry ont embarqué dans le bus pour que personne d’autre ne soit en direction du Centre d’art de Crest. Photo par Le DL/Stéphane MARC
La vue Crest précédemment connue a une autre vue sur l’hippobus. Photo par DL/Caroline BERN
Un peu provoqués, Topaz et Pedro, roulèrent dans la station-service. Photo par DL/Caroline BERN
