Mal maîtrisé, le succès de l’autopartage peut entraîner une frustration chez les usagers des lignes de métro, de bus ou de tramway, ce qui a un impact négatif sur l’environnement.
A l’inverse, à mesure qu’elle gagne en succès, la voiture domicile-travail peut avoir des conséquences négatives sur la qualité de l’air et le réchauffement climatique. Tout d’abord, cette pratique permet de s’affranchir de sa voiture pour rejoindre le conducteur et les autres passagers lors des trajets quotidiens. Confortable, rapide, économique, la conduite évite de heurter les conducteurs seuls au volant de leur voiture. Et donc, cela limite également le nombre de voitures sur la route, ainsi que la consommation de carburant et les émissions.
Seulement, ce comportement peut détourner les usagers des transports en commun, dont le bilan environnemental est meilleur. « Pour les personnes mal desservies par les transports en commun, la voiture compense un réseau plus petit », a déclaré Karos, l’un des principaux opérateurs de l’étude court-courrier 2022. Tant que cet événement est neutre, le bilan est neutre. presque neutre par rapport à l’environnement. »
