Jeudi, les candidates à la mairie de Winnipeg, Jenny Motkaluk et Rana Bokhari, ont promis d’économiser de l’argent sur les projets de construction et d’investir dans le transport en commun.
Jenny Motkaluk, promet encore une fois d’exiger que la Ville choisisse les entrepreneurs les plus qualifiés pour les grands projets de construction, plutôt que de choisir la solution la moins coûteuse.
La Ville utilise des pratiques d’approvisionnement désuètes et archaïques et les Winnipegois en ont payé le prix, dit-elle.
Sa promesse de choisir des contrats en fonction des qualifications et non du prix fait écho à une promesse qu’elle a faite pour la première fois il y a quatre ans, lorsqu’elle est arrivée deuxième derrière Brian Bowman dans la course à la mairie de 2018.
Mme Motkaluk prétend que la Ville a démontré qu’elle ne protège pas les contribuables.
Elle critique son rival, Scott Gillingham, qui promet d’augmenter les impôts fonciers pour lever 42 millions de dollars supplémentaires par an pour aider à payer les projets d’infrastructure.
C’est votre argent. Ce sont vos 42 millions de dollars et vous avez déjà vu comment Scott Gillingham protège votre argent, ce qui n’est pas très bon, dit-elle.
Le conseiller de la salle Saint-Jacques et qui a terminé, qui a présidé la commission des finances, écarte ces critiques.
J’investis dans un plan de transport et j’améliore le service client. L’alternative de Jenny oblige la Ville à réduire les réparations routières, le transport en commun et les niveaux de service. Ce n’est pas ce que les gens veulent en ce moment, se défend M. Gillingham dans un communiqué.
Jenny Motkaluk promet de ne pas augmenter les taxes foncières.
Elle pense que des fonds supplémentaires seront générés en favorisant le développement et en prolongeant la conduite d’eau et d’égout jusqu’au côté sud de CentrePort, près de l’aéroport international James Armstrong Richardson.
