Île-de-France Mobilités veut améliorer la qualité de l’air dans les transports en commun franciliens

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25/05/2022 à 13h16

La prise de conscience de l’incident est si importante que plusieurs grandes villes comme Londres et Séoul ont également commencé à s’attaquer au problème.

Se doter d’un plan global

Se doter d'un plan global

Pas une légende, la qualité de l’air est vraiment mauvaise sous terre dans le métro et le RER. L’administration chargée de gérer les transports en commun d’Ile-de-France, Île-de-France Mobilités (IDFM), se réunit mercredi 25 mai pour mettre en place de nouvelles mesures face à la problématique des toxicomanies. Trois grands axes ont été mis en place pour prendre une ligne stratégique claire, qui peut aussi répondre aux normes internationales : mieux connaître la qualité de l’air et mieux informer le public, le développement des trains, des métros et du RER pour réduire les fumées des ressources, et enfin la rénovation et la modernisation des équipement de filtration existant.

L’impact est énorme, d’autant que la pollution souterraine est souvent méconnue des acteurs reliant les véhicules. « Nous savons seulement que l’une des plus importantes de ces substances se trouve dans le système de freinage des chemins de fer. Nous avons plus d’informations, mais elle est marquée par de nombreux inconnus », a déclaré le représentant de l’IDFM. « L’enjeu est de mieux comprendre le causes de la pollution, comment les pièces se propagent, comment elles bougent », a-t-il ajouté. .

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Développer de nouveau outils

Développer de nouveau outils

En recherche, IDFM fera ainsi appel à son partenaire Airparif pour acquérir une expérience scientifique pertinente et mettre en place des améliorations substantielles aux sources de pollution souterraines. « Nous nous appuierons sur des partenariats solides avec eux », a déclaré l’agent. Parallèlement, la RATP et la SNCF, qui travaillent toujours étroitement avec l’IDFM sur les questions de qualité de l’air, travaillent chacune de leur côté pour apporter de nouvelles solutions.

IDFM a également pris des mesures concrètes. A commencer par la rénovation de près de quarante voies aériennes majeures, qui représente un « investissement majeur pour les deux prochaines années ». L’administration testera également de nouveaux systèmes de filtration de l’air dans les locaux des quatre gares du RER. Des trappes à matériaux de la Gare de Lyon au système d’épuration des eaux de Neuilly Porte Maillot, en passant par le filtre mécanique Porte de Clichy, la nouvelle technologie est au cœur de la stratégie antifouling d’IDFM.

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La RATP et la SNCF ont également été sollicitées pour proposer des solutions techniques. Les métros et RER de la RATP doivent répondre à la crise de 2034 en installant de nouvelles plaquettes et garnitures de frein. L’équipe du train SNCF devrait être équipée d’un nouveau système de freinage. Dans ces expérimentations, l’équipe d’Ile-de-France Mobilités espère faire avancer la lutte contre la pollution sur les déchets et surtout leur expliquer les meilleures solutions, en leur rappelant que l’argent investi est francilien. résidents, qui ne permettent vraiment rien de mal.