Quelle est la note de l’autopartage dans Apron 6 mois après le lancement ?

Depuis le mois de mars, un service d’autopartage est disponible dans la commune de Sablier, en Vendée. Une solution pour pallier le manque de transports en commun.

Pour Aude Métais, le covoiturage fait désormais partie du quotidien. Deux fois par semaine, il récupère les clés de la petite voiture électrique mise en covoiturage depuis mars. Un environnement et une économie.

Heureusement pour moi aujourd’hui, j’ai deux matinées par semaine où je peux facilement aller à La Roche-sur-Yon puisque je pars tôt. Sans la Zoé, je ne me le permettrais pas car l’essence est très chère.

Le quartier d’Apron ne compte que 750 habitants. Il n’y a pas beaucoup de modes de transport. La commune est la seule commune de la commune de La Roche-sur-Yon qui ne soit pas desservie par un bus.

Lors de l’appel à projets de ce modèle d’autopartage, la collecte n’a pas tardé à se faire attendre.

« L’idée est d’offrir une opportunité de se déplacer aux habitants de la ville. Car le fait que le partage d’une voiture, qui veut dire covoiturage, était aussi très intéressant pour nous », a convenu Bernadette Barré-Idier, maire des Tabliers.

Six mois après la découverte de cette voiture électrique, une vingtaine de gens ordinaires. Mais pour l’association chargée de l’inscription, il est difficile de changer d’avis.

Même si certaines personnes sont prêtes à essayer de partager la voiture au maximum, on voit que ça marche pas mal, ce qui veut dire qu’elle est utilisée par des particuliers au lieu de partager des voitures.

Laurence Bollangier-Stragier, présidente de l’association Les rendez-vous de la Grange

L’essai prendra fin fin mars 2023, avant de déterminer quelle sera la suite à donner à ce projet de voiture partagé.