Rabat / Transports publics : Repenser la mobilité urbaine…

Le secteur des transports a le triste bilan d’être l’un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale. Cela nécessite des recherches supplémentaires et un examen des pratiques solitaires (conduite en solo), du rôle du transport durable et de nombreuses autres questions connexes.

D’autre part, une réunion conjointe a été organisée par l’Agence Marocaine de l’Energie (AMEE) et la Société Régionale de Mobilité de Rabat (anciennement TRAMWAY) pour échanger sur diverses questions liées au droit à l’énergie et au Transport. Conflits internationaux et nationaux, le monde devient de plus en plus énergivore, ce qui aggrave le changement climatique.

A ce sujet, la présidente du CRDHRSK (Rabat-Salé-Kénitra), Houria Tazi Sadeq, a indiqué que l’événement en question vise à attirer l’attention sur le problème du transport solitaire au Maroc et l’impact négatif sur l’environnement et le climat. soulignant que l’utilisation de transports publics de qualité dans la ville garantit aux citoyens le droit à l’énergie dans un environnement respectueux de leur dignité. Elle a confirmé, de la même manière, que le CRDH est pleinement engagé, aux côtés de ses partenaires, dans un projet qui vise à revendiquer le droit à l’énergie, à travers une approche collaborative et participative uniquement.

De son côté, le directeur général de l’AMEE, Saïd Mouline a rappelé que plusieurs pays concentrent leurs efforts sur l’investissement dans les véhicules à faible consommation d’énergie, afin de parvenir à « l’offre de transports publics de bonne qualité, en construisant les infrastructures appropriées pour le faciliter ». circulation des citoyens et les encourage à réduire l’utilisation des véhicules privés en les remplaçant par des voitures ou des vélos respectueux de l’environnement afin de réduire la pollution de l’environnement ».

Mouline a souligné le rôle important que jouent les citoyens dans la réduction des émissions de gaz, à travers leur comportement au volant et leur prise de conscience des dangers du réchauffement climatique. Cette question nécessite « des efforts conjugués des différentes parties prenantes pour proposer une alternative garantissant un transport liquide et respectueux de l’environnement », a-t-il déclaré.

Cette rencontre s’inscrit donc dans le cadre d’une réflexion sérieuse et responsable sur les conséquences de la conduite seule en ville, en termes de réchauffement climatique et de pollution de l’air, dans le but de créer une politique efficace pour garantir la prise de transports collectifs de bonne qualité. , comme alternative à l’autosolisme.