Tchad : les dangers des véhicules de transport en commun vétustes…

En fait, N’Djamena s’occupe des véhicules de transport en commun. Ces bus, qui circulent entre la périphérie et le centre de la ville, sont souvent dans un état lamentable, sans portes, phares et miroirs cassés, cordes et sièges.

Cependant, ces véhicules, qui seront interdits dans d’autres pays, sont autorisés à circuler à N’Djamena, malgré leur état dangereux pour les usagers de la route. Il est difficile de comprendre comment ces véhicules sont autorisés à être diffusés, mais aucun test spécifique n’est effectué sur ces appareils.

Selon les témoignages des habitants de la commune, ces bus représentent un réel danger pour la population. « C’est un cercueil en mouvement, conduit par des chauffeurs aux permis douteux, qui n’ont peur de rien. Parfois, quand on sort de Dembé à l’axe 22, on s’arrête deux ou trois fois pour mettre de l’eau sur un radiateur », déplore un jeune marchand ambulant qui habite le quartier d’Atrone dans le 7e arrondissement.

Les habitants des zones rurales de la ville sont fortement touchés par cette situation, puisqu’ils sont obligés d’utiliser ces bus pour se rendre sur leurs lieux de travail, de restauration, ou de trajets quotidiens. « Malgré leur âge, grâce à ces bus je peux me rendre sur mon lieu de travail dans le quartier Farcha », explique Gondjé, un habitant du quartier Djigo, dans le 7e arrondissement.

Les chauffeurs de ces bus sont également confrontés à de nombreuses difficultés, dues à l’état de leurs véhicules. « C’est très difficile, on ne peut pas tenir une semaine sans changer de pièces. Le pire, c’est l’état de la route », a déclaré un chauffeur de l’axe 22 au marché de Dembé.

Bien que N’Djamena soit une ville avec de très mauvaises routes, les autorités devraient prendre des mesures pour interdire la circulation des bus de transport en commun, afin d’assurer la sécurité des usagers de la route. Le problème avec ces navettes, c’est qu’elles appartiennent majoritairement à des personnalités du secteur privé.

De plus, certains d’entre eux sont publiés sans aucun document nécessaire, comme un document d’immatriculation, une nouvelle taxe de circulation, un dossier spécial ou une assurance, en plus d’un permis valide. Cependant, le gouvernement peut intervenir pour améliorer ce domaine.

Par exemple, le gouvernement gabonais a investi plus de 7,45 milliards pour l’achat de 150 nouveaux bus et la construction d’une trentaine de lignes, afin de faciliter la circulation pour la population dans le respect. Ce processus devrait interpeller le ministère des Aménagements divers, des Transports et la mairie, ainsi que la sécurité de la population sur l’autoroute, ainsi que ce métier des transports publics.

Un fléau en Afrique Ces voitures sont un fléau en Afrique, posant de nombreux risques pour la sécurité routière et la santé publique. Elle est souvent associée aux accidents de la route, aux émissions de gaz nocifs, aux problèmes de santé liés à l’air intérieur et aux impacts économiques sur les transports publics.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les accidents de la route sont la principale cause de décès chez les jeunes de 15 à 29 ans en Afrique. Les voitures « mortes » peuvent émettre des niveaux élevés de gaz nocifs qui peuvent nuire à la santé des passagers et des travailleurs du voyage.

En fait, l’exposition aux gaz d’échappement des voitures peut entraîner des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des cancers du poumon et des maladies respiratoires. Il est important que les gouvernements africains prennent des mesures pour contrôler le mouvement des vieux navires en mauvais état.

Cela peut inclure des contrôles techniques de routine, des inspections internes de sécurité des véhicules et des politiques visant à promouvoir la disponibilité de véhicules neufs et plus sûrs. L’Etat peut exonérer des taxes du Bureau des Douanes l’acquisition de tels véhicules avec la mise en place d’un système financier appuyé par une ou plusieurs banques locales.

Un tel événement peut également soutenir les entreprises de transport et les travailleurs migrants en leur fournissant des véhicules sûrs et fiables pour leur travail. Il n’existe pas de statistiques récentes sur les conséquences des pannes de véhicules en Afrique, mais il est important de rappeler qu’elles contribuent aux décès sur les routes, à la pollution de l’air et à l’insécurité. .