Transports en Île-de-France : le Parti communiste lance une pétition pour dire « stop à la galère »

mercredi à 8h sur le parvis de la gare Saint-Lazare (Paris, 8e). Une dizaine de militants communistes s’approchent des passants et leur tendent un tract. « Plus de moyens pour la RATP et la SNCF ! s’exclame un militant. Une dame attrape le tract : « Ah oui, c’est intéressant ! ». Ces derniers sont invités à signer la pétition « Stop galère », qui a déjà recueilli plus de 3 500 signatures.

Depuis la semaine dernière, les huit fédérations PCF d’Île-de-France ont multiplié les actions de ce type. « Nous sommes allés dans 40 gares en Île-de-France, rapporte Céline Malaisé, conseillère régionale et présidente de la Gauche communiste, écologiste et citoyenne. Nous voulons expliquer aux habitants les raisons des difficultés actuelles dans les transports, comme la diminution dans l’offre que souhaitait Mme Pécresse, et les effets de la privatisation en cours ».

Les élus communistes disent « Non à l’augmentation du Navigo » et exigent le rétablissement d’une offre 100% transport. Céline Malaisé dit recevoir une réponse « très positive » à cette démarche de la part des utilisateurs : « Les gens font la queue pour signer notre pétition. Beaucoup ne comprennent pas qu’on va vers une augmentation du Navigo alors qu’on leur demande de renoncer à leur voiture. Et ils ne voient pas pourquoi ils devraient payer plus pour avoir moins de transports », souligne-t-elle.

A Montreuil (Seine-Saint-Denis), le maire Patrick Bessac a lancé une campagne d’affichage avec le slogan « Mon bus, mon combat ». Des réunions publiques sont prévues après les fêtes de la Toussaint à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), Mitry-Mory (Seine-et-Marne), Saclay (Essonne) ou encore Malakoff (Hauts-de-Seine) « Pour chaque fois nous voulons aborder une autre thématique, comme le RER B, les réseaux de bus », précise Céline Malaisé.

Cette campagne est portée par les membres du PCF. « Mais notre objectif est de rassembler tout le monde pour demander que l’Etat, par exemple, annule la dette Covid qui grève Ile-de-France Mobilités (un prêt remboursable de 2 milliards d’euros, ndlr). Nous voulons rejoindre les parlementaires sur ce thème… Mais le 49.3 a tout gelé ».

Qui est à la tête de la région ?

Le président du conseil régional est élu à la tête du conseil régional d’une région. Sur le même sujet : Horreur des transports parisiens : les passagers évacués par des tunnels en dessous de 40 degrés. Il est président du conseil d’administration de cette autorité locale.

Qui élit le président du conseil régional ? Chaque conseil régional est composé de membres du conseil régional élus aux élections générales tous les 6 ans et d’un président du conseil régional. Ce dernier est élu par les membres du conseil régional à la majorité absolue.

Qui est responsable de la région ?

Le Président Elu par les membres du conseil régional, le président est le « patron » de l’exécutif régional ; détermine les priorités de la politique régionale ; préside la plénière, dirige les débats et fait exécuter les décisions par les services administratifs.

Quel est le salaire d’un président de région ?

depuis le 01/01/2019 : Président : 5639,63 ⬠Vice-présidents : 3811,61 ⬠Sur le même sujet : Fête de la musique 2022 en Île-de-France : métros, bus et RER jusqu’au bout de la nuit du mardi au mercredi.

Ceci pourrez vous intéresser :
La région a décidé de créer deux lignes de transports en commun…

Qui est le Vice-président de la région Île-de-france ?

Stéphane Beaudet, vice-président responsable du transport, Valérie Lacroute, vice-présidente responsable de l’agriculture et de l’alimentation, James Chéron, vice-président responsable du secondaire, Marie-Do Aeschlimann, vice-présidente responsable de l’emploi et de la formation professionnelle Éducation. Sur le même sujet : Haut-Bugey. Recrutement exemplaire de Xhenis, devenu chauffeur Duobus.

Qui remplace Valérie Pécresse ?

Qui est le Vice-président ?

Un vice-président, selon la définition originale, est une personne qui travaille pour un gouvernement, une entreprise, une institution ou une association et dont le rôle est d’occuper le poste de président lorsque ce dernier est incapable de l’exercer. Dans certains pays, le titre « Adjoint du Président » est préféré.

Qui est le président du conseil régional Île-de-france ?

La présidente du conseil régional d’Île-de-France, Valérie Pécresse.

A voir aussi :
Annoncée le 14 septembre, cette troisième hausse du prix du forfait Navigo…

Qui dirige la région Île-de-france ?

La région Ile-de-France est l’une des 13 régions administratives françaises. La région agit dans la plupart des domaines qui touchent au quotidien des Franciliens : transports, collèges, apprentissage, développement économique, environnement, entre autres.

Voir l’article :
Dans une vidéo publiée dimanche sur YouTube, Emmanuel Macron a annoncé sa…

Qui est à la tête de la région au Cameroun ?

Chaque région du Cameroun est placée sous l’autorité d’un gouverneur régional et d’un conseil régional. Le Gouverneur est le représentant du Président de la République, du Gouvernement et de chacun des Ministres, et à ce titre il est le dépositaire de l’autorité de l’Etat dans la région.

Qui dirige le conseil régional ? Les régions sont administrées par un conseil régional élu au suffrage universel direct, qui constitue l’organe consultatif de la région.

Qui est à la tête de la commune ?

Les municipalités sont dirigées par des maires et des conseils municipaux élus lors d’élections générales. La distinction entre commune urbaine et commune rurale est basée sur le fait que la commune administre ou non une zone urbaine. Ils ont, en principe, compétence pour gérer les affaires locales sous la tutelle de l’État.