Transports publics : Sylteg appelle les conducteurs et les régulateurs du Pk12 à mieux s’organiser | Gabonreview.com | Nouvelles du Gabon |

posté par / 21 août 2022

Le Syndicat libre des transporteurs terrestres du Gabon (Sylteg) appelle les opérateurs et régulateurs du site Pk12 à mieux s’autoréguler. Les expéditeurs et les chauffeurs semblent avoir du mal à s’entendre, ce qui peut entraver l’activité.

Jean-Robert Menie lors de la sortie précédente. © Gabonrevue

Le président du Syndicat libre des transporteurs terrestres du Gabon (Sylteg), Jean-Robert Menié, s’est adressé le week-end dernier aux opérateurs et régulateurs travaillant sur le site Pk12 de la commune de Ntoum. Ces différents acteurs semblent avoir du mal à s’entendre. Il les invite à nommer le lieu, à organiser l’espace, à mettre des panneaux et des séparateurs pour mieux organiser et guider les clients.

« La réglementation doit être améliorée. Pour qu’il y ait une meilleure régulation, il faut qu’il y ait une bonne collaboration entre les opérateurs et les régulateurs, c’est-à-dire les chargeurs », a-t-il déclaré. Car, « le travail des chargeurs facilite celui du conducteur car il peut se concentrer sur le volant », il pense que les activités réglementaires sont importantes sur le terrain pour aider la mairie de Ntoum à améliorer, gérer, gérer les activités de transport. sur le site Pk12.

Il a indiqué que ce 22 août, devrait se tenir, à la mairie de Ntoum, une réunion avec les opérateurs de Bikélé et les représentants du régulateur pour mieux organiser le travail et établir la relation entre les acteurs. « On ne peut pas se passer de régulation. La régulation du chargement et du déchargement, c’est ce qui permet à l’opérateur de travailler dans un cadre bien organisé et de se concentrer sur les roues », insiste Jean-Robert Menie.

Selon lui, cette activité de régulation permet également à de nombreux jeunes de sortir de la solitude et de subvenir aux besoins de leur famille. « Beaucoup de ces jeunes sont interpellés, violents. Ça leur permet de se responsabiliser et d’avoir un travail », a-t-il dit, invitant opérateurs et régulateurs à mieux collaborer.

Quel est le climat du Gabon ?

Climat équatorial avec deux saisons des pluies. La pluviométrie annuelle moyenne atteint 1 831 mm, variant dans l’espace entre 1 400 et 3 800 mm, tandis que la température varie de 21 à 28 °C.

Quelles sont les caractéristiques du climat ? Il se caractérise par tous les paramètres météorologiques qui permettent de décrire le « temps » : température, humidité, pression atmosphérique, précipitations (quantité et type), vent, nébulosité (quantité et qualité), le principal. Ceci pourrez vous intéresser : Qu’est-ce qu’un abonnement ?.

Quels sont les climats du Gabon ?

On distingue en fonction de la répartition et du rythme des précipitations trois principaux types de climat : climat équatorial pur, climat équatorial de transition de la zone centrale, et climat équatorial sud-ouest et de la côte atlantique centrale.

Quel est le climat du Gabon et ses caractéristiques ?

Le climat est équatorial, chaud, avec des taux d’humidité assez élevés (de 85 à 100 % en saison des pluies). Près de la côte, le climat est plus tempéré grâce à la brise marine. Lire aussi : Exclusif : que vaut vraiment la 4G dans les transports en commun parisiens ?. La température varie de 21°C dans le sud-ouest du pays à 27°C sur la côte et sur terre.

Quels sont les différents types de climat ?

Il existe 5 principaux types de climat : climat froid, climat tempéré, climat continental, climat tropical et climat désertique.

Qui sont les Autochtones du Gabon ?

Dans tout le Gabon, il existe également des communautés de chasseurs-cueilleurs (souvent appelés Pygmées) qui comprennent de nombreux groupes ethniques ; les Baka, Babongo, Bakoya, Baghame, Barimba, Akoula, Akwoa, qui sont différents par leur langue, leur culture et leur localisation.

Qui était le premier habitant du Gabon ? Pour les temps historiques, les premiers habitants du Gabon étaient des Pygmées qui ont migré d’Afrique centrale. Ils ont été poussés par la migration bantoue qui, à son tour, a habité le Gabon du XIe siècle au XIXe siècle.

Quelles sont les 50 ethnies du Gabon ?

GROUPES ETHNIQUES GABONAIS

  • Aduma, Aduma ou Baduma.
  • Adjumba ou Adjumba.
  • Akélés, Bakélés ou Nkélés (dont Bungome, Nkomon, Mbahoin, Métombolo)
  • Apindji.
  • Assimbika.
  • Awandji.
  • Bakas, peuple pygmée.
  • Bakanigui.

Comment Appelle-t-on les Pygmées du Gabon ?

Les Koya. 17Koya est un terme utilisé par différents groupes Ngom pour désigner la population identifiée comme pygmées. C’est aussi le terme par lequel se désignent les Pygmées installés dans la province de l’Ogooué-Ivindo et c’est sous ce nom qu’ils sont connus dans la littérature.

Quel est le type de pauvreté au Gabon ?

Environ 8,2 % des Gabonais vivent dans l’extrême pauvreté et n’ont pas les moyens d’acheter des denrées alimentaires de base pour couvrir leurs besoins nutritionnels minimaux de 2 100 kilocalories (kcal) par personne et par jour (voir encadré 1).

Pourquoi le Gabon est-il pauvre ? L’hyper-concentration de la population à Libreville (qui compte la moitié des habitants du pays), Port-Gentil et Franceville-Moanda-Mounana est tirée par l’exode rural avec pour conséquence que les zones agricoles du pays sont les plus pauvres avec elles. être vidé de sa population.

Quelles sont les principales causes de la pauvreté ?

  • Comment définissez-vous la pauvreté et selon vous, qu’est-ce qui la cause? …
  • Communauté…
  • • La pauvreté résulte du manque d’éducation aux compétences de vie. …
  • ⢠La pauvreté vient du manque de volonté politique. …
  • ⢠Conditions de vie â propriétaires impolis.

Quels sont les problèmes du Gabon ?

Principaux problèmes du Gabon : Le chômage, la santé et l’éducation sont les problèmes les plus importants auxquels le gouvernement doit s’attaquer en priorité, selon le Gabon.

Quel est le type de pauvreté retenu au Gabon ?

Nous avons vu que la pauvreté au Gabon reste un phénomène essentiellement rural avec un taux de pauvreté de 59,5% contre 21,0 à Libreville et 29,4% pour l’ensemble des zones urbaines.