Était-ce un pincement, un frottement, voire un « toucher » quasi-bucolique ? Ont-ils été commis avec le dos de la main, la paume de la main ou le bout d’un doigt négligent ? Au barreau de la cour parisienne, on pourrait presque penser que le vocabulaire utilisé contribue à la minimisation des faits. Mais pour être juste, c’est bien une série touchy-fely – légalement synonyme d’agression sexuelle – qui a conduit l’homme de 58 ans à se manifester ce mercredi 23 novembre.
