Montpellier : Voiture, tram ou vélo, racontez-nous vos moyens de transport pour aller en mer

Pour plonger en Méditerranée, depuis Montpellier (Hérault), la bataille des transports est proche. En voiture tu es libre, mais ça pollue, et trouver une place est souvent un vrai casse-tête. Avec les transports en commun on est plus calme, mais c’est loin et on ne va pas où on veut. Le vélo est une belle balade, mais il faut entraîner ses jambes, sous un soleil brûlant. Les lecteurs de 20 minutes parlent de leur moyen de transport préféré pour rejoindre la côte.

En voiture

En voiture

Aller à la plage en voiture est toujours un passage obligé, si l’on en croit les parkings bondés chaque été en bord de mer. Le tram quand il s’arrête à Pérols ? Qu’elle puisse monter à vélo, avec les températures qu’on a depuis quelques années ? », murmure Marina, pour qui « la voiture a encore de beaux jours devant elle ». Kathryn n’est pas non plus prête à lâcher Titine. une demi-heure en transports en commun, avec deux trams, et un bus, toutes les 30 minutes le dimanche. Pas pratique du tout ! »

Kathryn se gare souvent au centre-ville de Carnon, où « il y a souvent des places », ou au Lido. « J’aurais pris les transports en commun s’il y avait un tram ou une navette assez fréquent qui relie directement les plages au centre-ville, mais ce n’est pas le cas. Benoît s’y rend également en voiture. Voir l’article : Voyage : 4 sacs de transport pour animaux à petit prix. Et il fait tout pour « éviter de payer », en se garant au Lido, ou dans le parking silo, à Palavas-les-Flots. « Pour avoir une place, j’y vais le matin ou de 12h30 à 13h00. J’ai rarement des problèmes de stationnement. »

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En transports en commun

La voiture ne fait pas l’unanimité chez les lecteurs de 20 Minutes. Les transports publics ont aussi leurs fans. Pour Safia, la voiture est « trop ​​difficile à garer et la cabine est trop chaude au retour », confie-t-elle. Alors elle prend le bus, près d’Arènes. «En été, c’est toutes les demi-heures, et le retour est possible jusqu’à 22h40. Parfait! Brigitte se baigne à Carnon et prend le tram’ jusqu’à Place de France [à l’Odysseum], donc bus 606. a plus avant juillet ! »

Patrice, quant à lui, est un habitué du bus qui relie l’arrêt Garcia Lorca à Palavas-les-Flots. « Avec le billet de 10 trajets à 10 euros, c’est le plus économique », calcule le Montpelliérain, qui jette en revanche de la distance sur les fréquences, trop éloignées. « Résultat, les voyageurs ont refusé, surtout l’été et les week-ends de beau temps ! Arnaud prend le tram jusqu’à Pérols, puis la navette jusqu’à Palavas-les-Flots. Lire aussi : Super Nancy. Grève en ligne de Stana : les transports en commun fortement perturbés. Dommage, s’excuse-t-il, ce service n’est pas proposé « avant le mois de juin. Il faut marcher de l’arrêt de tram à la plage, tout ça malgré nos taxes ! Scandale. »

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En vélo

Et puis il y a les amoureux du vélo. Ceux qui montent tout de suite sur le vélo ressentent l’envie de barboter. Comme Pierre qui, selon sa destination, longe le Lez jusqu’à Palavas-les-Flots, emprunte la piste cyclable du tram jusqu’à Carnon, et poursuit sa route, parfois, vers La Grande-Motte ou Le Grau-du -Roi. A voir aussi : Quelle moto à 65 ans ?. – Je vais toujours à la plage en vélo depuis le centre, dit-il. Oui, je fais partie des gens bizarres qui ont abandonné la voiture. Depuis douze ans. »

Jean-François, qui habite boulevard Berthelot, est aussi un adepte du vélo. Un peu évasif au début. « Depuis la fermeture du boulevard Clemenceau, je vis l’enfer », confie-t-il. Je ne peux plus prendre la voiture pour aller travailler dans les Lattes ou à la plage. Alors j’utilise le vélo. Il emprunte le boulevard Vieussens, et met le cap sur les rives du Lez, les Lattes, puis la cathédrale de Maguelone. Dommage, soupire-t-il, « il n’y a pas de pistes cyclables partout ». « C’est clair que je vais beaucoup moins souvent à la plage car ça me prend 45 minutes à chaque trajet », poursuit Jean-François. Et quand j’y vais, j’y vais en fin d’après-midi, pour éviter la forte chaleur et la circulation monstre pour me rendre à la plage du Carré Mer. La route est tellement étroite que les voitures ont du mal à passer. Ce qui veut dire que même à vélo on est coincé derrière des voitures ! »

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