A 25 ans, elle est chercheuse en développement durable, et après avoir constaté que toutes les informations liées au climat lui paraissaient anxiogènes, elle a décidé de faire des vidéos pour donner des conseils positifs. Et il fonctionne.
« Écologie » et « positif », ces deux mots sont rarement associés, mais pour cette Américaine de 25 ans, il est indispensable de les combiner si l’on veut convaincre tout le monde qu’ils fonctionnent. Alaina Wood vit dans le Tennessee, est chercheuse en développement durable et surtout adepte des réseaux sociaux. Des réseaux où elle a découvert que les informations liées au climat, à la biodiversité, sont systématiquement négatives et inquiètent. C’est certes logique, car tous les indicateurs disent que nous allons droit au mur, mais cela ne doit pas être un frein. Cependant, c’est exactement l’effet que nous ressentons lorsque nous voyons trop d’observations négatives. « J’ai remarqué que pendant la pandémie de Covid-19, a-t-elle confié au magazine The Verge, lorsque je me suis inscrite sur TikTok, il y avait beaucoup de vidéos culpabilisantes, et c’est ce que je voulais changer. »
Avec son compte Garbage Queen, faisant allusion à sa passion pour la méthode zéro déchet, elle s’est lancée dans la réalisation de vidéos très courtes pour donner des idées de gestes efficaces et valorisants. Par exemple, sur le sujet très sensible des voitures, elle explique que malgré sa volonté d’émettre le moins de gaz à effet de serre possible dans son quotidien, elle ne peut pas vivre sans sa voiture, qu’il n’y a pas de transport en commun dans son petit coin du Tennessee, et à 25 ans, elle ne peut clairement pas s’offrir un véhicule électrique… mais elle a une solution : changer sa façon de conduire. Elle accélère moins brutalement, pour éviter un freinage tout aussi brutal derrière elle, essaie de maintenir une vitesse stable, roule détendu, en dessous de la limite légale et, en même temps, non seulement pollue moins mais logiquement et consomme moins, donc elle a vu son budget moins carburant.
🌍 Rappel des conclusions des deux premières parties Publiée en août 2021, la première partie du rapport du GIEC montre une accélération alarmante du réchauffement climatique. La planète s’est déjà réchauffée de +1,1°C, et le seuil de +1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle sera atteint vers 2030.
Quelles mesures pour le climat ?
Éteignez la lumière lorsque vous quittez la pièce. Cela vous permet d’économiser de l’énergie et de l’argent tout en protégeant le climat en même temps. L’énergie est nécessaire pour préparer et chauffer l’eau. Par conséquent, une douche est plus adaptée au climat qu’une baignoire.
Que faire pour le climat ? Voici 7 idées pour vous lancer. Ceci pourrez vous intéresser : Prestations sociales, « transport premium » : de nouvelles mesures pour soutenir le niveau de vie des ménages.
- Réduire la consommation de chauffage.
- Parcourez moins de kilomètres en voiture.
- Évitez l’avion.
- Mangez plus de légumes et moins de viande.
- Acceptez le zéro déchet.
- Achetez moins de choses et gardez-les longtemps.
- Passez aux énergies renouvelables.
Comment respecter le Climat ?
Quelques gestes simples peuvent retenir la chaleur, comme fermer les volets, installer des doubles vitrages, remplacer les joints s’ils sont mauvais… Baisser la température des lave-linge et de la vaisselle permet aussi de moins consommer d’électricité, surtout lorsque les programmes sont plus courts.
Comment la France lutte contre le changement climatique ?
La France s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40 % entre 1990 et 2030 et, avec la loi énergie climat adoptée en 2019, à atteindre la neutralité carbone en 2050 en divisant ses émissions par un facteur 6 supérieur à celui de 1990. Voir l’article : Une nouvelle étape dans les archives du transport en commun au Madawaska.
Où trouver les rapports du GIEC ?
Les derniers rapports spéciaux du GIEC peuvent être consultés sous la rubrique Rapports. Ceci pourrez vous intéresser : Pouvoir d’achat : 5 mesures de soutien discrètement votées par le Parlement. Au cours du sixième cycle d’évaluation, entre octobre 2018 et septembre 2019, le GIEC a finalisé trois rapports spéciaux.
Quelles étaient les conclusions du dernier rapport du GIEC en 2022 ? Les 5 points clés à retenir du rapport 2022 du GIEC sont que les actions humaines sur la planète sont irréversibles, le réchauffement climatique atteindra 1,5°C en 2030, le niveau de la mer va monter significativement, les émissions de CH4 augmentent, et les puits de carbone non. .
Quand a été publié le dernier rapport du GIEC ?
Le 4 avril 2022, un nouveau rapport du groupe de travail III du GIEC (en anglais IPCC – Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a été publié.
Où trouver rapport GIEC 2022 ?
Un résumé à l’intention des décideurs politiques produit par le Groupe de travail III en tant que contribution au sixième rapport d’évaluation, ainsi que des documents et des informations supplémentaires peuvent être consultés à l’adresse : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/.
Comment est composé le GIEC ?
Le GIEC est composé de trois groupes de travail (aspects scientifiques du changement climatique ; impact et vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels ; solutions possibles) et d’une équipe spéciale pour les inventaires nationaux des gaz à effet de serre.
Comment les experts du GIEC sont-ils sélectionnés ? Le bureau du groupe de travail ou du groupe de travail concerné sélectionne les scientifiques soit à partir des nominations nationales d’experts soumises par les gouvernements membres du GIEC et les organisations observatrices, soit parce qu’ils sont connus pour leurs publications et …
Qui sont les scientifiques du GIEC ?
Le GIEC est composé d’experts scientifiques (climatologues, économistes, etc.) mandatés par les gouvernements de 195 pays membres. Ils sont chargés de parvenir à un consensus entre tous les pays, ce qui n’est pas toujours facile !
Qui sont les dirigeants du GIEC ?
Président : Hoesung Lee (République de Corée), élu le 10 juin 2015. 3 vice-présidents : Ko Barrett (USA), Thelma Krug (Brésil), Youba Sokona (République du Mali) dirigent chacun des 3 groupes de travail. 2 coprésidents du groupe de travail.
