Le Japon ouvre de nouvelles frontières aux touristes : nos conseils pour se déplacer ! – Tourisme

Le Japon rouvre progressivement ses frontières touristiques : à condition de respecter scrupuleusement toutes les mêmes restrictions… Nous pourrons bientôt découvrir les (re)merveilles du Japon. Avant de boucler nos valises, explorons les différents modes de déplacement. Aimez voyager en toute liberté, optez pour la voiture ou le van. S’il faut préparer son itinéraire avant de partir, il faut aussi préparer son permis de conduire international pour que conduire au Pays de l’Ascension soit un plaisir d’enfant ! Bien sûr, il existe également d’autres moyens que nous vous proposons de découvrir dans cet article.

Les principaux modes de transport

Les principaux modes de transport

La voiture

S’il est difficile d’amener sa propre voiture au Japon, il est toujours possible d’en louer une sur place. Cependant, vous devez être bien préparé pour cela. Veuillez noter que les panneaux sont écrits en japonais. Malgré le fait qu’il y ait des panneaux en anglais sur les routes principales, il est fortement recommandé de savoir lire les différents kanji ou hiragana sur les routes secondaires. Autre point d’attention : la conduite est à gauche donc le volant est à droite. Par rapport à la France, ces habitudes de conduite seront fortement bouleversées ! En adaptant cet effort, la voiture offre plus de liberté de mouvement au Japon, qui ne se limite plus aux transports en commun.

Rester au travail et pour une courte durée, cela peut aussi être un avantage. Cela évitera les heures de pointe dans les transports en commun pour mieux profiter de la vie japonaise. De plus, votre visite peut être pleinement appréciée sans avoir à planifier vos déplacements à l’avance. Ceci pourrez vous intéresser : Transports : quels sont les moyens du gouvernement pour réduire la facture ?. De plus, il vous permet de rejoindre des régions plus éloignées et moins bien desservies par les transports en commun. La campagne japonaise est très belle et ce serait bête de la manquer.

Pour conduire, il faut cependant être titulaire d’un permis de conduire international afin que les autorités japonaises disposent d’une traduction japonaise du permis de conduire en français. Pour bénéficier d’un permis de conduire international, en tant que résident français, le voyage doit durer moins d’un an au Japon.

Route de campagne japonaise où l’on remarque que la route est à gauche (Pixabay)

Le train

Le mode de transport le plus courant au Japon est le train. En effet, diverses sociétés privées, comme Japan Railways, gèrent le trafic ferroviaire d’une main de maître. On voit rarement un train en retard et l’attente entre deux trains est relativement courte. Il est donc facile de se déplacer d’une ville à l’autre. De plus, les lignes de chemin de fer couvrent tout le pays, permettant de s’y rendre quand on veut. Facilitez-vous la planification de votre voyage à l’avance !

Si la barrière de la langue peut faire peur, c’est certain, la plupart des panneaux sont traduits en anglais. Et si malgré tout, vous n’êtes pas à l’abri de vous perdre, le personnel de la gare est disponible et là pour guider les touristes en difficulté. Non seulement ils parlent anglais, mais leur sens du service est inégalé. Par exemple, ils savent comment aider et gérer les personnes handicapées. Parfois, n’oubliez pas de monter à bord d’un shinkansen. Sur le même sujet : Dans les Alpes du Sud, la politique des transports publics fait polémique. Ce train ultra-rapide permet de faire Tokyo-Kyoto en 2h30 grâce à des pointes allant jusqu’à 500 km/h ! Le prix est généralement abordable. Le service est impeccable et son confort est meilleur si on les compare avec nos TGV français.

L’aspect futuriste du shinkansen est évident lorsque sa vitesse de pointe dépasse les 600 km/h ! (Wikipédia commun)

Le métro et le bus

Dans les grandes villes comme Tokyo, le métro permet de se déplacer rapidement d’un endroit à l’autre. Les billets sont acceptés aux bornes automatiques et le prix varie selon la distance parcourue. Comme le train, les panneaux sont écrits en anglais et en japonais, et les annonces sont également faites dans la langue shakespearienne. Il est donc facile de se déplacer entre les différentes stations sans se perdre. A voir aussi : La combinaison du forfait de mobilité durable et du forfait de transports en commun : des plafonds améliorés. Information importante : les portes sont blanches et orange. Une fois que vous sortez par les portes blanches, vous ne pouvez plus entrer, vous devez donc payer à nouveau un ticket. Pour la correspondance, il faut faire attention de passer par les portes oranges.

A Tokyo, la ligne Yamanote est pratique. Il fait le tour de la ville et permet de se rendre dans différents centres urbains de la capitale comme Shinjuku ou Shibuya.

À l’intérieur d’une voiture dans un métro japonais (Wikimedia Commons)

Le bus est une bonne alternative au métro. Il vous permet de voyager dans les grandes villes et de vous rendre dans les petites villes. A la campagne, c’est souvent le seul transport en commun pour rejoindre la ville. Bien qu’abordable, il est inévitablement plus lent, surtout pour les embouteillages.

À prendre en compte

Le train et le métro ne sont pas sans défauts. En effet, aux heures de pointe, entre 7h30 et 9h30. et 17h et 19h, il est fortement déconseillé d’adopter ces comportements à moins de vouloir passer un moment désagréable. De plus, le soir, de nombreux employés laissent leur partenaire ivre. Et si le taux d’attaque au Japon reste faible, les scènes qui se déroulent en soirée ne sont pas forcément les plus agréables à vivre. Ainsi, ce facteur doit être pris en compte lors de la conduite dans les plus grandes villes du Japon.

Les pass

En tant qu’étranger, vous pouvez profiter du Japan Rail Pass. Ainsi, les touristes au Japon peuvent se déplacer librement et sans surcoût sur l’ensemble du réseau des entreprises privées. Le passeport JR doit être réservé plusieurs semaines avant l’arrivée au Japon. En effet, il sera impossible d’en récupérer un sur place sans le bon (coupon) reçu au préalable en France. L’avantage de cette offre est qu’elle vous permet de voyager à travers le pays donc le coût du voyage est réduit en payant un seul forfait. Le JR Pass est un ami des voyageurs réguliers et sera économiquement désavantagé s’il n’y a qu’une seule ville ou région spécifique sur l’itinéraire. Notez qu’il existe des passeports régionaux tels que le kansai Area pass qui se concentrent sur les villes d’Osaka, Kyoto et Nara. Lors de la préparation du voyage, vous devez toujours vous demander s’il est plus avantageux de prendre un JR Pass (national et/ou régional) ou des billets à l’unité.

A voir aussi :
(Agence Ecofin) – Alors que la guerre connaît une pause, la région…

Autres transports

L’avion et le bateau

Il existe d’autres moyens de se déplacer au Japon. Pour naviguer entre les différentes îles, vous avez le choix entre l’avion et le bateau. Les compagnies japonaises comme Japan Airlines sont bien classées dans le monde et le temps de voyage est court mais le prix doit être plus élevé. La voie aérienne est nécessaire pour se rendre à Okinawa par exemple. Le bateau est un parcours lent qui permet cependant d’observer la beauté des côtes du Japon et de ses eaux. Ce mode de transport permet également de transporter une voiture de location. De plus, c’est assez abordable, vous pouvez donc visiter plus d’endroits au Japon.

Compagnies aériennes japonaises Japan (Pixabay)

Le taxi

Enfin, le taxi est toujours possible. Ils sont reconnaissables à leurs couleurs noires ou jaunes selon les compagnies de taxi. On sait immédiatement si les voitures sont libres grâce à un panneau sur le côté : rouge si le taxi est libre et vert ou bleu s’il est occupé. Ces couleurs peuvent paraître déroutantes mais on s’y habitue vite. Si le service est impeccable, le prix sera proportionnel au nombre de kilomètres parcourus. Dès l’entrée, entre 400 et 700 ¥ (environ un peu moins de 3€ et 5€) seront alors payés à partir de 2 km le compteur démarre et facture un peu plus pour chaque kilomètre parcouru. Pour les courtes distances, c’est abordable mais lorsqu’il s’agit de parcourir de longues distances, le taxi est déconseillé.

Exemple d’un taxi japonais : à l’avant, on peut voir s’il est occupé ou non. Ici c’est gratuit car le panneau rouge est devant. (Wikipédia commun)

De plus, les chauffeurs ne parlent pas toujours anglais. Si cela se produit, vous pouvez indiquer sur une carte où vous souhaitez vous rendre. Attention : au Japon, on ne fait jamais allusion ! Il le prendrait mal, pensant que son travail était réduit à un travail de handicap. En effet, le métier de chauffeur de taxi est strictement réglementé et demande un temps d’apprentissage important.

Se déplacer au Japon peut se faire de plusieurs façons ! Il ne nous reste plus qu’à trouver celui qui nous convient le mieux. Si vous souhaitez conduire pour profiter des merveilles de l’archipel et trouver des endroits pas mal desservis par les transports en commun, nous vous invitons à passer par le site de notre partenaire, l’International Drivers Association, pour obtenir votre permis de conduire international. En essayant de préparer votre voyage pour la réouverture des frontières du Japon, pourquoi ne pas jeter un œil à notre sélection des meilleurs guides du Japon ?

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Quelle est la meilleure période pour partir au Japon ?

Les meilleures saisons pour découvrir le Japon sont le printemps et l’automne. Avril offre des températures raisonnables, une humidité réduite et surtout la possibilité de voir les fleurs des cerisiers, l’une des caractéristiques fondamentales du pays. L’automne est tout aussi agréable, avec moins de pression touristique.

Quelle est la saison des typhons au Japon ? La saison des typhons au Japon dure de mai à octobre, avec un pic en août et septembre. Cependant, il n’est pas nécessaire d’éviter de voyager pendant ces mois de l’année.

Quelle est la période la moins chère pour partir au Japon ?

Obtenez un vol pas cher pour le Japon. Statistiquement, novembre est le mois le moins cher pour voyager, pratique pour ceux qui veulent se rendre au Japon, car c’est un bon moment pour visiter le pays.

Quand partir au Japon prix ?

Maison Prix ​​de retour moyen Les mois de vacances à venir
Tokyo 627‚¬ Mars, mai (moins cher)
Osaka 731‚¬ janvier, février, mars, mai, septembre, octobre, novembre (jour férié), décembre
Sapporo (Hokkaidō) 770‚¬ février, mars, mai, juin, septembre (moins cher), octobre

Quand aller au Japon en automne ?

De la mi-novembre au début décembre, les arbres arborent des couleurs éclatantes, du rouge au jaune en passant par l’orange. Cette alliance de douceur et de beauté fait de l’automne l’une des saisons les plus prisées pour voyager au Japon.

Deux blessés, dont un grave, dans un accident entre un véhicule et une moto à Hyères
A voir aussi :
Qui peut être témoin d’un accident ? Comment faire passer un article…

Où et quand partir Malaisie ?

Pour séjourner en Malaisie, la période optimale s’étend de début juin à fin septembre. C’est en effet la période de moins de précipitations sur les côtes est et ouest et de plus d’ensoleillement.

Où partir en Malaisie en avril ? Climat en avril en Malaisie à Langkawi En ce mois d’avril, la température moyenne à Langkawi est de 29° (30° maximum et 28° minimum). Le climat est donc plutôt agréable dans cette ville ce mois-ci. Avec 301mm sur 18 jours, vous subirez de la pluie pendant votre séjour.

Où aller en Malaisie en novembre ?

La Malaisie en novembre météo, climat, température et où partir en novembre 2022 ?

  • Kuala Lumpur.
  • Kota Bahru.
  • Type de.
  • Langcawi.
  • Melaka.
  • Pankor.
  • Penang.
  • L’île Tioman.

Où aller en Malaisie l’été ?

Si vous vous demandiez quoi faire en Malaisie au mois d’août en fonction du climat et de la température, rendez-vous à Kuala Lumpur, la capitale de la Malaisie, où tradition et modernité se côtoient. Kuala Lumpur est située sur la côte ouest du pays où le temps est parfait pour une sortie en famille.

Quel est le climat de la Malaisie ?

En Malaisie, le climat oscille toujours entre 21°C et 32°C le jour (et l’année). Les précipitations varient de 2032 à 2540 mm, la plupart tombant pendant la période de mousson qui a lieu d’octobre à janvier.

Comment faire pour immigrer au Japon ?

Un visa doit être obtenu avant de voyager au Japon. Les étrangers souhaitant travailler au Japon doivent obtenir un visa de travail auprès de l’ambassade ou du consulat japonais à l’étranger afin d’entrer dans le pays avec un statut de résident leur permettant de travailler.

Est-il facile d’immigrer au Japon ? De plus, ce pays, considéré comme homogène, a tendance à craindre l’immigration en raison de sa stabilité (4). Cela signifie que l’immigration au Japon est acceptée, mais pas forcément bien accueillie, et n’est tolérée que pour un temps limité, notamment dans le cadre du travail.

Comment faire pour aller vivre au Japon ?

Tout d’abord, et pour pouvoir entrer sur le territoire japonais, vous devez obtenir un visa. Celle-ci n’est pas obligatoire pour les touristes souhaitant séjourner au Japon moins de trois mois. En revanche, pour vivre au Japon, vous devrez demander un visa de travail, un visa vacances-travail ou un visa étudiant.

Comment obtenir un visa de travail pour le Japon ?

Pour obtenir un visa de travail au Japon, un employé potentiel doit trouver un emploi auprès d’un parrain dans le pays qui fait l’offre d’emploi. Le demandeur demande au bureau régional de l’immigration une attestation d’admissibilité.